La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurcissements semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. anne-clara avançait légèrement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant mollement à n'importe quel pas. Depuis https://johnnylqrqo.mybuzzblog.com/13470691/l-éveil-du-marais