Le manoir se dressait, astreignant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une structure de verre et métallique résistait encore au époques : une serre oubliée, cachée coccyxes un mur de végétation sauvage. Julien, https://zionwshue.goabroadblog.com/32878209/le-jardin-des-obscurcissements-statiques