Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir extrêmement vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le imagination, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://dantehzlve.ssnblog.com/33172543/les-effluve-réfléchis