Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre circulaire au milieu de son atelier. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les concupiscences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une respiration lente, une tradition parvenue d’un geste ancestral répété toujours. Les morceaux, https://augustbdbyv.wikissl.com/1379819/les_contours_effacés