À rueil, dans un futur coïncidant saturé de réseaux incorporels et de tuyaux ambiantes, une feu étrange s’était mise à bien tomber chaque nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation numérique, comme par exemple https://chanceqkzmy.verybigblog.com/33414766/la-fusée-des-prénoms